echologique

Bonjour à tous. Que se passe t-il sur notre planète ? Le constat a déjà été donné. Le réchauffement climatique n’est plus à démontrer de nos jours, mais à éviter. Vous pourriez vous demander : en quoi cela me concerne ? Je ne fais pas partie des générations qui ont déclenché ce phénomène. Je n’y suis pour rien ! Pourquoi serait-ce à moi de bouger et de réparer les fautes des générations passées, sans que ce soit forcément volontaire de leur part ? Parce que si on ne fait rien, cela deviendra de notre faute. Nous sommes au courant de ce qui se passe. Nous, l’espèce humaine, avons fait des erreurs de jugement et nous avons été trop sûr de nous. Nous avons eu confiance dans les technologies et les découvertes de ces deux derniers siècles. Nous ne nous sommes pas demandé : Quels pouvaient être les conséquences de l’utilisation massive de ces technologies ? Nous les avons simplement utilisé car elles nous semblaient utiles et infaillibles. Les changements climatiques se feront au rythme de notre Terre. Un homme, né à l’aube du XXIe siècle, ne sera peut-être pas témoin de ces changements, ni même la génération suivante. Mais pensons à la génération qui vivra ces modifications climatiques, pourquoi devrait elle payer pour les erreurs passées ? Qui en sera responsable ? Toutes les générations précédentes. La mienne, la vôtre… Les uns parce qu’ils auront eu une confiance aveugle dans les technologies, les autres parce que réagir demandait trop de changement dans notre mode de vie confortable. La nature nous a fait don d’une planète pour y prospérer. Nous avons cohabité avec le règne animal pendant près de 100 000 ans. L’homme est responsable de la disparition de nombreuses espèces animales, et d’autres sont en voie de disparition. Les causes ? La destruction de leurs environnements, le massacre d’espèces pour leurs diverses propriétés physiques, pour leur goût culinaire. En tant qu’animal le plus développé de notre planète, devrions nous dominer ou protéger les autres espèces ? La responsabilité est collective. Mais il n’est pas trop tard. Pour cela, l’écologie doit être présente sur la scène nationale et internationale au plus vite, pour que les changements de nos modes de vie se fassent progressivement, et non dans l’urgence d’une crise imminente. Parlez en autour de vous. Renseignez-vous. Posez-vous des questions. Les changements doivent commencer quelque part. Il existe des solutions. Des lois vertes, une attitude quotidienne respectueuse envers l’environnement. La prise de conscience et le changement des mentalités doivent se faire foyer par foyer, homme par homme. A 6.5 milliards d’individus, cela risque de prendre du temps. Imaginez dans 50 ans, quand le besoin de changement se fera pressant… La crise à venir, si elle a lieu, ne sera pas locale, nationale ou même continentale. Elle sera mondiale.